Audi Q7, un magistral SUV
Sur route ou sur terrain accidenté, le Q7 se veut avant tout performant.
Sur route, il se comporte comme une voiture de sport. Sur terrain accidenté, il devient un véritable SUV. Le Q7 se veut avant tout performant.
Il est à l’aise dans toutes les situations, surtout les plus difficiles. Esthétiquement, c’est bien un véhicule de la marque : tracé très bombé du pavillon, structure effilée synonyme de dynamisme de la proue et poupe puissante, peinture en deux coloris contrastants (en option) pour une personnalité plus affirmée. A l’intérieur, place à l’inédit et à la polyvalence. Ce SUV dispose de vingt-huit configurations possibles, pour les sièges et le chargement. Trois rangées de sièges peuvent accueillir jusqu’à sept passagers ; ils peuvent être déplacés individuellement en longueur dans la seconde rangée et sont rabattables à plat sur la troisième. Résultat : les passagers disposent de l’espace le plus long aux pieds de cette catégorie et le compartiment de charge passe à deux mille trente-cinq litres sans être obligé d’enlever les sièges. En outre, le Q7 dispose, de série, de trois sièges avec inclinaison réglable des dossiers en seconde rangée et d’une trappe à ski avec sac à ski. A savoir : on peut commander une troisième rangée de sièges pour des personnes mesurant jusqu’à un mètre soixante, places aisément accessibles grâce à la fonction Easy Entry.
Beau et sûr
L’Audi Q7 n’a pas été fait à partir d’un châssis classique ; il dispose d’une carrosserie autoportante en acier de construction allégée. A bord, la sécurité répond à des exigences élevées. Des zones de déformation définies dans toutes les parties détournent de manière ciblée l’énergie générée par la collision de la cellule d’habitacle à haute résistance. Par exemple, en cas de choc frontal, des capteurs avant, implantés derrière la calandre, enregistrent la collision et quelques millisecondes suffisent aux prétentionneurs de ceinture pour rattraper le jeu éventuel de la sangle. Au-delà d’un certain degré de sollicitation, un limiteur d’effort cède en allongeant la sangle, permettant ainsi à l’occupant d’être retenu par l’airbag. Là encore, ce sont deux airbags frontaux de grand volume à deux seuils de déclenchement qui sont mis en œuvre. Le Q7 dispose aussi d’airbags latéraux à l’avant, du système d’airbags de tête sideguard jusqu’à la troisième rangée de sièges.
Côté confort pour le conducteur, rien n’a été laissé au hasard. Mieux : le moteur a été implanté dans le sens longitudinal et c’est un différentiel Torsen qui gère automatiquement la répartition optimale du couple entre les quatre roues. Grâce à la direction directe servotronic (de série sur tous les Q7), le conducteur bénéficie d’une précision directionnelle et d’une extrême précision du comportement routier. Un détail important : la garde au sol varie au moins entre un niveau dynamique de cent soixante-cinq millimètres et un niveau maximum de deux cent quarante millimètres (en mode Lift), permettant le franchissement d’obstacles d’une taille respectable. Appelé à être utilisé comme véhicule tracteur pour les attelages, le Q7 est prédestiné à cet usage et peut tirer une charge allant jusqu’à trois mille cinq cents kilos. Il est d’ailleurs équipé de la stabilisation d’attelage, qui réajuste ce dernier (en cas de tangage) en intervenant efficacement sur le freinage.
Par Cécile Olivéro - photos : presse