Corvette Stingray, le rêve américain
Déjà huit générations au compteur et un pouvoir de séduction poussé à son paroxysme, le modèle exauce les rêves de Zora Arkus-Duntov avec son moteur central niché derrière l’habitacle et visible sur les coupés.
La Chevrolet Corvette Stingray traverse enfin l’Atlantique. Les sièges sont positionnés près des roues avant. Conducteur et passager s’animent précisément au centre de gravité. Un V8 6,2 litres de 482 chevaux à son bord, la belle atteint le 0-100 km/h en seulement 3,5 secondes et une vitesse maximale de 296 km/h. Le capot est court et la plage arrière, spacieuse et élégante.
A l’arrière, deux sorties d’air, deux feux et autant de pots d’échappement. Le volant évoque avec brio les voitures de course avec commandes latérales. La caméra arrière est connectée au rétroviseur. Le toit du coupé est amovible et disponible au choix dans la teinte de la carrosserie, en version transparente ou en fibre de carbone, quand le cabriolet se coiffe d’un toit rigide rétractable de série qui se replie sur le compartiment moteur en 17 secondes lancé jusqu’à 50 km/h.
L’enregistreur de performance de série envoie des vidéos de conduite sur une carte mémoire SD, enregistre des bandes-son et des statistiques avec dates et heures. Trois types de sièges : le GT1 en cuir Mulan, le GT2 en cuir Nappa et finitions en fibre de carbone et le modèle Compétion Sport doté de renforts pour la conduite sur circuit. Au nombre des confortables prestations : deux coffres, un à l’avant et l’autre à l’arrière. La Corvette Stingray est présentée à 88.620 €.