Ferrari 296 GTS, l’hybride à ciel ouvert
Le moteur V6 à 120° associé à un électrique plug-in délivre jusqu’à 830 chevaux. La silhouette de l’hybride, version à toit amovible de la GTB, la joue aussi élégante que sportive. À bord, le plaisir de conduite reste le maître-mot.
L’accélération latérale, l’accélération longitudinale, le passage des vitesses, le freinage et le son du moteur perçu depuis l’habitacle… Cinq facteurs qui déterminent le plaisir de conduite du côté de la marque au cheval cabré.
Les lignes de la GTS sont plus nettes et sophistiquées encore que celles de la GTB. Cette version hybride à ciel ouvert arbore une architecture épurée, véritable hommage aux Ferrari des années 1960, parmi lesquelles la 250 LM de 1963 dont elle reprend le pilier B, les ailes arrière et la queue Kamm. Le cockpit s’articule autour de l’interface entièrement numérique, qui fait ses débuts sur la SF90 Stradale. Ici, l’intégration de la technologie se veut sophistiquée. La plupart des instruments de bords s’organisent côté conducteur. L’écran passager permet une expérience participative façon copilote. L’habitacle est minimaliste, mais chic. 14 secondes suffisent à escamoter le toit rigide lancé jusqu’à 45 km/h.
La Ferrari 296 GTS atteint une vitesse maximale de 335 km/h, réalise le 0-100 km/h en seulement 2,9 secondes, et le 0-200 km/h en 7,6 secondes. On pressent des tarifs plus élevés que ceux de la GTB, fixés à partir de 271.000 €.