Paris : un marché à deux vitesses
Face à un climat tendu, le marché immobilier parisien perd en fluidité mais résiste sur les biens haut de gamme. Et plus que jamais le professionnalisme des consultants fait la différence. Fondé il y a plus de 75 ans, le groupe Daniel Féau se distingue par l’excellence de ses services. Le point avec Sophie Berg-Mennesson directrice des opérations chez Daniel Féau.
Maison familiale créée il y a plus de 75 ans, Daniel Féau a acquis une solide réputation et se positionne en leader sur le marché haut de gamme à Paris et proche couronne ouest :
« L’ADN de Daniel Féau c’est l’alliance de biens de luxe et de collaborateurs de qualité. Il y a une intelligence collective mise au service de la clientèle et une véritable coordination dans les actions entre les collaborateurs qui assurent la mise en place des meilleures conditions. La force de Daniel Féau c’est aussi une connaissance aiguisée du marché, ce qui nous vaut la confiance de grandes fortunes françaises et étrangères que nous suivons sur plusieurs générations. En France, 70 % des ventes sont réalisées par des agents immobiliers. Et au-delà de 2 millions d’euros, c’est 99% des ventes qui passent entre les mains de professionnels. Aujourd’hui, dans un marché compliqué et un climat de défiance, la qualité des services a encore plus de valeur car elle assure la pertinence des conseils et une confidentialité optimale » explique Sophie Berg-Mennesson.
Situé rue Quincampoix dans le IVe arrondissement à l’étage noble de l’Hôtel de Sémonville construit au XVIIe siècle, ce remarquable appartement de 116 m2 profite de 5 mètres de hauteur sous plafond. Il a conservé tous ses beaux attributs d’époque, boiseries et magnifique cheminée dans le salon. Vendu + de 2 M €.
Situé rue Quincampoix dans le IVe arrondissement à l’étage noble de l’Hôtel de Sémonville construit au XVIIe siècle, ce remarquable appartement de 116 m2 profite de 5 mètres de hauteur sous plafond. Il a conservé tous ses beaux attributs d’époque, boiseries et magnifique cheminée dans le salon. Vendu + de 2 M €.
Situé rue Quincampoix dans le IVe arrondissement à l’étage noble de l’Hôtel de Sémonville construit au XVIIe siècle, ce remarquable appartement de 116 m2 profite de 5 mètres de hauteur sous plafond. Il a conservé tous ses beaux attributs d’époque, boiseries et magnifique cheminée dans le salon. Vendu + de 2 M €.
Situé rue Quincampoix dans le IVe arrondissement à l’étage noble de l’Hôtel de Sémonville construit au XVIIe siècle, ce remarquable appartement de 116 m2 profite de 5 mètres de hauteur sous plafond. Il a conservé tous ses beaux attributs d’époque, boiseries et magnifique cheminée dans le salon. Vendu + de 2 M €.
Situé dans le VIe arrondissement au dernier étage avec ascenseur, ce magnifique appartement atelier de 170 m2 offrant 6 mètres de hauteur sous plafond, bénéficie d’une vue dégagée sur jardin. Il dispose d’un grand séjour atelier et de 3 chambres dont une chambre en suite avec bureau. Deux caves complètent ce bien.
Situé dans le VIe arrondissement au dernier étage avec ascenseur, ce magnifique appartement atelier de 170 m2 offrant 6 mètres de hauteur sous plafond, bénéficie d’une vue dégagée sur jardin. Il dispose d’un grand séjour atelier et de 3 chambres dont une chambre en suite avec bureau. Deux caves complètent ce bien.
Situé dans le VIe arrondissement au dernier étage avec ascenseur, ce magnifique appartement atelier de 170 m2 offrant 6 mètres de hauteur sous plafond, bénéficie d’une vue dégagée sur jardin. Il dispose d’un grand séjour atelier et de 3 chambres dont une chambre en suite avec bureau. Deux caves complètent ce bien.
Situé dans le VIe arrondissement au dernier étage avec ascenseur, ce magnifique appartement atelier de 170 m2 offrant 6 mètres de hauteur sous plafond, bénéficie d’une vue dégagée sur jardin. Il dispose d’un grand séjour atelier et de 3 chambres dont une chambre en suite avec bureau. Deux caves complètent ce bien.
Dans un immeuble haussmannien de grand standing situé dans le XVIe arrondissement, cet appartement familial et de réception de
263 m2 a bénéficié d’une rénovation de qualité. Il accueille un double séjour donnant sur une cuisine dînatoire entièrement équipée, un bureau, une buanderie et 4 chambres dont une grande suite parentale. Deux caves. 4.4 M €.
Dans un immeuble haussmannien de grand standing situé dans le XVIe arrondissement, cet appartement familial et de réception de
263 m2 a bénéficié d’une rénovation de qualité. Il accueille un double séjour donnant sur une cuisine dînatoire entièrement équipée, un bureau, une buanderie et 4 chambres dont une grande suite parentale. Deux caves. 4.4 M €.
Sophie Berg-Mennesson, juriste
de formation, a intégré le groupe Daniel Féau en 2010 en tant que consultante puis comme responsable d’agence. Elle est directrice des opérations du groupe depuis mars 2023. Daniel Féau, 21 rue d’Artois, Paris 8 (01 56 88 48 48). www.danielfeau.com
Sophie Berg-Mennesson, juriste
de formation, a intégré le groupe Daniel Féau en 2010 en tant que consultante puis comme responsable d’agence. Elle est directrice des opérations du groupe depuis mars 2023. Daniel Féau, 21 rue d’Artois, Paris 8 (01 56 88 48 48). www.danielfeau.com
Qu’en est-il du marché parisien à l’aube de cette fin d’année 2023 ?
« C’est un marché dual. Sur les biens dits familiaux entre 1,5 et 3 millions d’euros qui n’ont pas de caractéristiques luxueuses particulières, nous constatons une baisse du volume des transactions et une érosion des prix liée aux difficultés d’emprunt. C’est un marché attentiste. Jusqu’ici le marché était tenu par les vendeurs, il est en train de changer de mains pour passer dans celles des acquéreurs. En revanche, sur le marché haut de gamme, c’est-à-dire au-delà de 4 millions d’euros qui concerne les grandes fortunes françaises et étrangères, le marché est plus fluide. Quand un acquéreur trouve le bien de ses rêves à Paris, il ne tergiverse pas car les produits sont rares sur ce segment et il ne peut pas prendre le risque qu’il lui échappe. Il en est de même pour les pied-à-terre de luxe dont le prix peut être inférieur à 2 ou 3 millions mais dont les qualités justifient un prix au m² élevé ».
L’avenir ? « Même si cela prendra un peu de temps, le marché va se rééquilibrer », conclut Sophie Berg-Mennesson.