Bonnes adresses

Luxueuses, envoûtantes, réjouissantes, réconfortantes, notre sélection d’adresses déploie un éventail de plaisirs et autant d’envies. Des incontournables aux bonnes surprises, de nouvelles aventures à vivre, à s’offrir, à partager.



Vous pensiez avoir tout vu de Pink Mamma ? Direction le sous-sol au fond du couloir de la chambre froide, où s’élance un bar boudoir habillé de velours rose ! Au gré d’une carte de cocktails audacieuse qui fait la part belle aux alcools et spécialités régionales de toute la Botte, la jeune équipe envoie avec dextérité des mixtures insolites. Coup de cœur pour l’irrésistible Sicilia au Marsala, crème de coco, lait d’avoine à la pistache de Bronte et citron vert. Côté ambiance ? Cosy en début de semaine, carrément festif du jeudi au samedi soir avec djs aux platines ! No Entry, 20 bis rue de Douai, Paris 9.

Cet automne, le Majestic Cannes place le Septième Art au cœur de ses soirées dominicales. Trente cinq cinéphiles peuvent se rendre chaque dimanche à 18 heures au sein d’une élégante et confortable salle pour une séance unique. Chaque projection est accompagnée d’une coupe de champagne et d’un assortiment de canapés. 35 €/par personne, sur réservation. Le Majestic Barrière, 10 boulevard de la Croisette, Cannes (04 92 98 77 03).

La team Cohen (Bonpoint, Merci) revient sur le devant de la scène avec un nouveau concept store. L’idée ? Un e-shop et une installation pop up qui investit pendant 6 mois les murs du mythique bistro Le Tourrette. Dans une mise en scène inspirante, ce premier acte baptisé « Un artiste chez soi » accueille le peintre Gaël Davrinche et une pléiade d’objets déco, beauté, mode… qui n’ont d’autre ambition que d’embellir nos intérieurs. Jusqu’en décembre. Pop up Démodé, 70 rue de Grenelle, Paris 7 (www.demode.fr).

Le mythique hôtel La Voile d’Or surplombant Saint-Jean-Cap-Ferrat a décroché cette année sa cinquième étoile. Erigé au cœur d’un idyllique domaine privé, cet hôtel propose chaque dimanche jusqu’au 17 septembre des apéritifs musicaux Jazz & Soul animés par le musicien Fat Cat et son band. Une belle idée de sortie estivale que l’on peut poursuivre au sein du restaurant bistronomique de l’hôtel. La Voile d’Or, 7 avenue Jean Mermoz, Saint-Jean-Cap-Ferrat (04 93 01 13 13).

Fondé en 1958 par Frangy Malortigue et son frère Doudou, le mythique club tropézien Papagayo fut repris en 1962 par un certain Claude François. Depuis, de Donna Summer à Eddie Barclay en passant par Johnny Halliday, Tom Jones, Régine et Claudia Cardinale, ce night-club n’a cessé de recevoir des stars enflammant les nuits tropéziennes. Aujourd’hui, l’entrepreneur globe-trotteur, Franklin Malortigue reprend les rênes de ce temple de la nuit, le transformant en un flamboyant restaurant festif ouvert chaque soir jusqu’à 6 heures du matin. Désormais nommé Gaïo, il propose une carte d’inspiration japonaise. Gaïo, 4 rue du 11 novembre 1918, Saint-Tropez (04 94 97 89 98).

Nouveau décor signé Tom Dixon, nouvelle carte orchestrée par le chef triplement étoilé Eric Fréchon : l’emblématique restaurant Le Drugstore inauguré en 1958, frappe beau pour s’épanouir dans l’époque ! Ce lieu unique, temple du beau, de l’insolite et de l’utile, révèle sa nouvelle facette où laiton, marbre et banquettes en cuir célèbre l’intime et le convivial dans la ville. Cosmopolite et parisienne, la carte marie plats signatures et explorations de tous les genres : du cru, du cuit, des saveurs terre et mer et de la finger food pour grignoteurs exigeants. Restaurant Le Drugstore, 133 avenue des Champs Elysées, Paris 8 (01 44 43 77 64).

Située à l’étage de la mythique salle Pleyel, cette table donne rendez-vous avec une Italie d’élégance. Le décor signé Laura Gonzalez imprime un joyeux mélange d’inspirations qui fait flirter avec style moquette aux lignes mauresques, velours soyeux, mosaïque Art-Déco, lustres à pampilles... Au piano, le chef Patrick Charvet élevé chez les grandes toques (Guy Martin, Pierre Gagnaire...), orchestre une cuisine du soleil qui convoque les saveurs parfumées de la Sicile et de l’Italie et file vers le Maroc. Cerise sur le gâteau : Noto propose à sa carte le vin produit par Carole Bouquet sur son île de Pantelleria. Noto - Paris, 252 bis rue du Faubourg St Honoré, Paris 8 (01 86 95 96 60).

Maison de parfums luxueuse, The Harmonist a posé ses précieux élixirs dans une superbe boutique noire et blanche décorée selon les principes du Feng Shui. Dans cet écrin classieux, on découvre 10 jus singuliers et 10 bougies faisant écho aux éléments fondamentaux du yin et du yang qui ont la vertu de réguler le stress, de porter haut l’énergie, en bref de faire du bien. Euphorisant. The Harmonist, 36 avenue Georges V, Paris 8. (01 53 75 19 92). www.theharmonist.com

Cette ravissante trattoria perchée sur la butte Montmartre, est un concentré pur jus d’Italie. Avec son laboratoire de pâtes fraîches, son épicerie fine et sa partie « ristorante », Roberta cultive l’amour de la bonne chère et la passion des bons produits. On s’y régale de plats et desserts typiques de la Botte, réconfortants, copieux et épanouis dans les saveurs. Un spot idéal pour savourer l’Italie du matin au soir. Roberta, 5 bis rue Lavieuville, Paris 18 (01 42 59 33 32).

Une jolie brochette de toques, réunissant talents émergents et figures émérites de la scène gastronomique parisienne, va animer pendant 4 jours la nef du Grand Palais. Pour sa 3e édition, le festival gastronomique Taste of Paris accueillera 19 pop up restaurants qui proposeront plus de 70 plats signatures et compositions créées pour l’occasion. De workshops en démonstrations, de shows en stands de dégustation en passant par des cours de cuisine pour en­fants, le festival promet une fois encore de belles surprises. Régalade assurée ! Du 18 au 21 mai, Grand Palais, 3 avenue du Général Eisenhower, Paris 8 (www.tasteofparis.com).

La mythique table gourmande de l’Hôtel Majestic Barrière à Cannes a rouvert ses portes en mars après s’être refait une beauté. Le cabinet parisien EDO a été choisi pour repenser dans un esprit Art Déco ponctué de motifs égyptiens et de touches d’or ce temple du raffinement. Hôtel Majestic Barrière, 10 boulevard de La Croisette, Cannes (04 92 98 77 00).

Designée par l’agence jbmn architectes, ce bar d’excellence niché au sous-sol de la Maison du Saké capture une collection exclusive de bouteilles comptant plus de 1000 whiskies, écossais bien sûr, mais aussi japonais, américains, irlandais ou encore indiens. Dans cet écrin classieux les malts se consomment purs, on the rocks, en highballs, en shot ou en cocktails accompagnés d’une petite carte de tapas japonaises. Un temple alluré de 600 m2 qui révèle avec panache et modernité toutes les facettes de la fameuse liqueur ambrée. Epatant. Golden Promise, 11 rue Tiquetonne, Paris 2 (09 67 61 97 03).

Le chef Christian Etchebest traverse la Seine et inaugure sa 6e Cantine du Troquet dans le 17e arrondissement. Avec son décor rouge signature de la maison, cette nouvelle brasserie conserve le côté authentique qui a fait le succès des précédentes adresses. Au programme, une cuisine conviviale qui utilise des produits premium sourcés chez les meilleurs producteurs et éleveurs. Sur la carte, les classiques du chef comme les crevettes et couteaux à la plancha, les fameuses charcuteries d’Eric Ospital, le merlu à la basquaise… côtoient des plats de saison qui varient selon le marché et l’inspiration. Décontracté et bon. La Cantine du Troquet Pereire, 46 rue Bayen, Paris 17 (01 42 67 05 11).

Au cœur d’un site naturel remarquable à Roquebrune-Cap-Martin, trois bâtiments dotés d’une architecture iconique forment Cap Moderne qui rouvre ses portes le 2 mai : la villa d’Eileen Gray (E-1027), le Cabanon et les unités de camping du Corbusier et l’Etoile de mer le bar restaurant de Thomas Rebutato constituent des lieux de vie et d’exposition à découvrir absolument. Ce lieu de mémoire des plus grands architectes et designers du XXe siècle, classé monument historique, est le seul site des Alpes-Maritimes inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Cap Moderne, esplanade de la gare, avenue Le Corbusier, Roquebrune-Cap-Martin (www.capmoderne.com)

Le chef Akrame, main dans la main avec le chef indien Manoj Sharma (Cinammon Club, Desi Road), vient animer les beaux quartiers avec cette nouvelle table qui mélange les cultures et les genres. Dans un esprit de partage cher aux chefs, la carte déroule une série de plats infusés d’épices, solaires et déments dans les saveurs. L’ambiance poursuit dans la décoration ce parfum cosmopolite avec des matières offertes dans leur pureté tandis que l’espace vibre sous le ballet de la brigade installée dans une cuisine ouverte sur la salle. Dépaysant. Shirvan, 5 place de l’Alma, Paris 8 (01 47 23 09 48).

Ce temple du goût accueille depuis 1946 la haute société monégasque et les célébrités du monde entier appréciant sa cuisine raffinée, son atmosphère intime et son club exclusif. Réagencée dans un esprit Belle Epoque, la salle est désormais ouverte sur la cuisine et à partir de juin, une terrasse amovible sera aménagée. Le jeune chef Antonio Salvatore a été choisi pour sublimer l’offre gastro­nomique empreinte de saveurs italiennes et françaises. Rampoldi, 3 avenue des Spélugues, Monaco (00 377 93 30 70 65).

Amarré dans une ancienne quincaillerie du 18e, ce restaurant fait honneur au poisson. La carte courte qui évolue selon les saisons et les arrivages, présente des poissons pochés, crus, cuits à la vapeur ou fumés, subtilement assaisonnés et accompagnés. Pour la soif, une belle sélection de vins bio ou biodynamique, des bières artisanales et des cocktails coquets. Fichon, 98 rue Marcadet, Paris 18 (09 70 94 52 14).

A la fois club privé, hôtel et restaurant, ce lieu à part acquis en 1892 par la veuve du président Thiers, a fait l’objet d’une rénovation exceptionnelle sous l’impulsion de la décoratrice franco-américaine Bambi Sloan. Entre classicisme et modernité, son inspiration se balade entre Napoléon III, Visconti, My Fair Lady et Chapeau Melon et Bottes de Cuir. Accueillant aujourd’hui des convives non membres, pour dîner en semaine et pour le brunch dominical, le restaurant du Saint James Paris piloté par le chef Jean-Luc Rocha (MOF et auréolé de deux étoiles), honore une cuisine de haute gastronomie, noble et délicate. Restaurant du Saint James Paris, 43 avenue Bugeaud, Paris 16 (01 44 05 81 81).

Lété, tel est le nom de ce nouvel établissement monégasque à la fois restaurant, bar, lounge et cabaret. Dans un décor théâtral et glamour conçu par Chantal Thomass, le Moët et Chandon coule à flot, dont des cuvées spéciales de vins et champagnes vintage parmi les plus recherchés. Le service, la cuisine et les prestations se veulent à la hauteur de cette table flirtant avec les plus chères au monde. Avis aux connaisseurs. Lété, 18 route de la Piscine, Monaco (06 07 93 96 73).

Epicerie fine, table à caviar, bar à saumon, restaurant et coin traiteur : la Maison Nordique a réuni dans un élégant espace de 180m2 les produits qui ont fait sa renommée pour régaler les fin gourmets et autres amateurs de saveurs iodées. Une adresse qui offre une véritable ballade initiatique autour des produits de la mer et met en avant l’emblématique caviar de la Maison qui occupe une table majestueuse posée à l’entrée où sont présentées les différentes variétés et s’invite en guest à la carte du restaurant aux côtés de recettes savoureuses comme les penne aux homard ou le burger blinis saumon. Luxueux de part en part. La Maison Nordique, 221, rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris 8 (01 47 23 00 00).